• Le yogourt a la cote depuis déjà quelques années. Mais savais-tu que la consommation de yogourt donnerait 17 % moins de chances de souffrir de diabète de type 2?  Voici donc les principales conclusions dévoilées au congrès « International Yogurt Summit » qui levait le voile sur les nouvelles percées scientifiques entre le yogourt et le diabète!

    Les produits laitiers et le diabète de type 2

    Les plus récentes recherches montrent que la consommation de produits laitiers, et plus particulièrement la consommation de yogourt, serait associée à la prévention du diabète de type 2. En plus de contribuer au maintien du poids santé, les produits laitiers semblent avoir un impact positif sur la tension artérielle, la stabilité de la glycémie ainsi que sur la sensibilité à l’insuline. Les mécanismes exacts restent encore à être élucidés, mais il est probable que certains acides gras présents dans les produits laitiers puissent contribuer à cette association, en plus des protéines, du calcium et des cultures bactériennes actives.

    La gestion de poids et le contrôle de l’appétit

    La teneur élevée en protéines du yogourt, encore plus vrai pour le yogourt grec et et pour le skyr (un yogourt islandais qui a des allures de fromage frais) augmenterait le sentiment de satiété, ce qui peut contribuer à diminuer les fringales entre les repas. Les protéines ne font pas augmenter la glycémie et permettraient même de prévenir les hypoglycémies chez les personnes qui en sont à risque. Les résultats d’une revue de littérature effectuée sur plus de 14 000 participants a conclu qu’une consommation régulière de yogourt serait associée à un gain de poids moins élevé dans le temps et un plus faible indice de masse corporelle, aussi appelé IMC.

    Psst! Tu aimes les yogourts onctueux et riches? Lis l’article Oui aux yogourts riches en gras!

    Le yogourt, un indicateur d’un mode de vie sain

    Bon à savoir : les chercheurs sont unanimes sur un point… Les consommateurs de yogourt présentent généralement un meilleur profil alimentaire.

    Ces derniers auraient de meilleures habitudes alimentaires, mangeraient moins de malbouffe, auraient des apports plus élevés en nutriments (en vitamines, minéraux et protéines) et plus faible apport en gras.